
L’Enchanteur pourrissant – Guillaume Apollinaire
S’étant dévêtue alors la dame s’admira. Elle était comme le jardin d’avril, où poussent par places les toisons de persil et de fenouil, comme la forêt de juin, chevelue et lyrique, comme le verger d’octobre, plein de fruits mûrs, ronds … Continuer de lire L’Enchanteur pourrissant – Guillaume Apollinaire