Ma grand-mère avait des doigts de sorcière

Évocation d’une grand-mère, effrayante et bienfaisante, grand-mère nourricière à qui l’on devait désobéissance pour passer le cap de l’enfance.

 
Au début, il y a l'enfance.

Au bout de l'enfance, la maison de la grand-mère.

Dans l'ombre de la grand-mère, les portes interdites.

Derrière les portes closes, les fascinants vols d'oies sauvages.
 
Catherine Pierloz se joue de ses souvenirs d'enfance. Elle retrouve le regard décalé des enfants sur un monde insaisissable, dangereux. Elle va puiser dans les réserves d'imaginations accumulées. Elle parle où la grand-mère s'est tue. Elle sait que les émerveillements ne sont pas sans effroi.
 

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